Takayama

Au centre de Honshu, Takayama étire ses rues calmes bordées de vieilles maisons traditionnelles.

Pic de Hotaka

Pour qui arrive de Tokyo, le contraste est saisissant. Fini l’agitation et le gigantisme, ici c’est la tranquillité et la mesure. Les Alpes Japonaises méritent bien ce surnom ; a la fois pour les superbes panoramas et pour la douceur de l’air et des relations. Le petit marché du matin de Miyagawa à Takayama, délicieusement désuet où les fermiers des environs vendent des herbes et des légumes, pourrait trouver place dans un village autrichien.

Parmi les vieilles maisons en bois du centre, certaines abritent des distillerie de sake. Quelques unes, anciennes demeures de marchands, peuvent se visiter. On y admire les justes proportions des pièces couvertes de tatamis, fermées de cloisons coulissantes, organisées autour de cours intérieures ; une architecture faite de sobriété et d’élégance.

Aux alentours, au rythme lent de la promenade, on découvre des dizaines de temples et sanctuaires, bouddhistes ou shintôistes, parfaitement entretenus, très beaux, très élégants.

A propos quelle différence entre bouddhisme et shintoïsme ? Qu’est ce que le shintoïsme ?
L’article le plus éclairant et le plus synthétique que j’ai trouvé est dans le site Questions sur les religions : Qu’est ce que le shintoïsme ? d’où j’extrait ces phrases : En fait, le shinto ne comporte pas de doctrine établie mais il constitue un ensemble de pratiques qui, à l’origine variaient sensiblement d’un village à l’autre.  La Chine, en introduisant le bouddhisme au Japon en 552, provoqua un double effet: d’une part un certain amalgame des pratiques shintoïstes et bouddhistes et d’autre part une réaction de défense, de nature quelque peu nationaliste, en faveur du Shinto.
Toute l’histoire religieuse du Japon fut dès lors une succession de mouvements contradictoires tantôt en faveur du bouddhisme, tantôt du shintoïsme.
Malgré une tendance à mélanger ces deux religions, on peut noter des réactions de défense du Shinto vers le XIIIe et le XVIIIe siècle. A cette dernière période, le bouddhisme était religion d’Etat.
A l’époque Meiji, en 1868, quand le Japon s’ouvrit à la civilisation occidentale, le gouvernement imposa la séparation entre Shinto et Bouddhisme.

A Takayama, on a fait l’expérience du ryokan, auberge traditionnelle, où tout est bon goût, calme et distinction. Le séjour au Oyado Koto no Yume restera un grand souvenir tant pour l’originalité de la chambre, les repas traditionnels d’un rafinement extrême et le honsen – bain chaud provenant d’une source naturelle qui irrigue un vaste bassin avec une eau brûlante délicieusement délassante.

Tokyo

MARUNOUCHI 4

Admirer les cerisiers en fleurs du Palais Impérial.

MARUNOUCHI 4

MARUNOUCHI 5

Les cerisiers en fleurs du Palais Impérial.

MARUNOUCHI 5

Parc Kitanomaru 2

Au sortir du Palais, le parc Kitanomaru est plus fleuri encore.

Parc Kitanomaru 2

Quartier Marunouchi

Quartier Marunouchi

Quartier Marunouchi

ASAKUSA

Temple Senso-Ji

ASAKUSA

GINZA

Temple Tsukiji-Honganji

GINZA

MARUNOUCHI

Quartier Marunouchi : Forum Internationnal de Tokyo

MARUNOUCHI

GINZA 1

Ginza : Marché au poisson de Sukiji

GINZA 1

Park Ueno 5

Sanctuaire Toshogu

Park Ueno 5

UENO 3

Musée National de Tokyo

UENO 3

Park Ueno 9

La coutume du hanami : admirer les fleurs de cerisier.

Park Ueno 9

SHINJUKU

le Gouvernement Métropolitain de Tokyo.

SHINJUKU

Park Ueno -1

Sanctuaire Toshogu

Park Ueno -1

Quartier Shinjuku la nuit

Kabukicho, c'est la face canaille de Shinjuku. La nuit les enseignes agressives assaillent le chaland.

Quartier Shinjuku la nuit

Crépuscule sur Tokyo (1)

Crépuscule sur Tokyo

Crépuscule sur Tokyo (1)

Crépuscule sur Tokyo

Crépuscule sur Tokyo

Crépuscule sur Tokyo

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